jeudi 31 octobre 2013

More on coffee: chronopharmacology of caffeine

http://www.youtube.com/watch?v=hbuCmO8Bwhs

http://www.brainfacts.org/Educators/Educator-Resources/Educator-Resources/How-Coffee-Affects-Your-Brain

http://blog.brainfacts.org/2013/10/the-best-time-for-your-coffee/

http://www.fastcodesign.com/3020940/asides/the-best-time-of-day-to-drink-coffee?partner=newsletter

Jeûner n'est pas se priver c'est écouter son corps.

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/10/23/21433-peut-on-jeuner-sans-risque-pour-sante

Je recommande de suspendre l'alimentation si la faim l'envie de manger n'est pas là. C'est simple et cela ne doit pas être combattu au motif qu'il serait équilibré de faire trois repas par jour. Il n' y a rien d'équilibré il n’y a que les besoins ressentis par un cerveau merveilleusement adapté à une alimentation réelle pas à des produits.
Donc bien s'hydrater et sauter un repas dont on ne ressent pas le besoin est au contraire un jeune intelligent.
Jeûner par principe est une croyance mais pas une adaptation aux besoins.
Il est donc tout à fait naturel de faire de l'intermittent fasting rythmé par les besoins réels en aliments réels. Par exemple je peux ne pas prendre un gros petit déjeuner si l'envie n'est pas là.
Je m'adapte.
Mais j'évite de sauter un repas parce que je n'ai pas le temps et je n'achète pas de produits industriels mais plutôt des amandes des noix ou quelques fruits secs pour la route.

dimanche 20 octobre 2013

Pollutants and obesity: negative link as a whole and some pollutants more implicated

Figure 1. Relationship between age and sumPCB serum levels in the entire group (n = 144).
Un article récent du journal Plos one décrit les caractéristiques d'une population de consommateurs d'aliments biologiques. Il s'agit de consommateurs qui ont été sollicités et qui ont fait l'effort de communiquer sur la plate-forme des auteurs pour enregistrer leur consommation et leurs caractéristiques de santé.
Dans cet article les auteurs mentionnent la possibilité d'une interférence entre les polluants présents dans les aliments et l'obésité. Il s'agit d'expliquer pourquoi la cohorte de consommateurs de produits biologiques présente 1 IMC est inférieure à celui des consommateurs de produits non biologiques. Il n'y a dans cet article aucune corrélation possible avec des causes puisqu'il s'agit d'une statistique descriptive d'une population qui s'est spontanément déclaré et qui a fait l'effort d'enregistrer des données. En particulier il n'a pas été réalisé de mesures du taux de polluants dans le sens ou dans les tissus des consommateurs de produits biologiques et des autres consommateurs. D'une manière générale les différences entre les 2 groupes de consommateurs, dans cette étude sont très fortement liées à des différences culturelles, d'éducation et d'information. 
Dans 1 travail de 2011 publiés dans Obesity  Évelyne  Dyrinck a corrélé dans 1 étude rétrospective les taux d'obésité et le contenu de polluants dans le sang.
Sur cette figure numéro 1 on voit très bien que l'exposition à l'environnement explique la croissance du taux de polluants en particulier les PC des dans le sérum. Ces polluants qui à l'âge de 20 ans sont en moyenne inférieure à 100 ng par grammes de lipides sont supérieurs à 300 à l'âge de 60 ans. Compte tenu de l'existence d'autres polluants que les PCB il paraît tres importants de réaliser des études plus précises sur l'accumulation des différents polluants au cours de la vie et sur les effets qu'ils peuvent avoir au niveau des pathologies en particulier les grandes maladies chroniques. Quoi qu'il en soit s'agissant de l'obésité  il faut retenir qu'il existe 1 corrélation négative entre IMC et compte tenu de polluants dans le sens chez les patients obèses. Plusieurs explications peuvent être avancées en particulier le caractère lipophile des PCB.  En revanche il semble que certains polluants soient eux corrélés aliènent sécher les patients obèses.

lundi 7 octobre 2013

Fat low carbs etc...

http://m.youtube.com/watch?feature=youtu.be&v=lN5Ik_oE7xs&desktop_uri=%2Fwatch%3Fv%3DlN5Ik_oE7xs%26feature%3Dyoutu.be

The complex spectrum of coeliac disease revisited


 2013 Oct;57(4):467-471.

Epidemiology of Coeliac Disease and Comorbidity in Norwegian Children.

Source

*Norwegian Institute of Public Health, Oslo, Norway, and Østfold Hospital Trust, Fredrikstad, Norway †Norwegian Directorate of Health and Norwegian Patient Register, Trondheim ‡Norwegian Institute of Public Health §Norwegian Institute of Public Health, Oslo, Norway.

Abstract

OBJECTIVES::

The aim of this study was to describe the occurrence of clinically diagnosed coeliac disease in children ages 0 to 12 years in Norway, including regional variation and coexisting type 1 diabetes mellitus, thyroid disease, and Down syndrome.

METHODS::

The Norwegian Patient Register (NPR) contains individual-level hospital data from 2008 onward. Small-bowel biopsies for establishing the coeliac disease diagnosis are only performed at public hospitals reporting to the NPR. Data on all hospital contacts during 2008-2011 when a diagnosis of coeliac disease was registered were retrieved from the NPR for patients born between 1999 and 2011, allowing estimation of the proportion registered with coeliac disease at ages 0 to 12 years in a cohort study.

RESULTS::

A total of 3006 individuals (58.2% girls) were recorded as having coeliac disease among 797,360 children, corresponding to a proportion of 3.8/1000 (95% confidence interval [CI] 3.7-3.9/1000) children, 4.5 (CI 4.3-4.7) among girls and 3.1 (CI 2.9-3.3/1000) among boys (P < 0.001). The proportion increased with age up to approximately 6 years and was 5.0/1000 (CI 4.5-5.6) at the age of 12 years, and was slightly higher in the south/west (3.9/1000) as compared to the middle/north (3.5/1000) regions of Norway (P = 0.013). A total of 214 of 3006 (7.1%) patients with coeliac disease were registered with coexisting conditions: type 1 diabetes mellitus (n = 142, 4.7%), Down syndrome (n = 47, 1.6%), or thyroid disease (n = 41, 1.4%).

CONCLUSIONS::

In this first nationwide study of clinically diagnosed coeliac disease in Norwegian children, we found a high occurrence, comparable with that in Sweden. Comorbidity was common, but routine screening of high-risk groups contributed to a limited number of cases.





In this last and recent paper scottish authors demonstrated that there is a true increasing incidence of CD in Scotland over the las 20 years.

vendredi 4 octobre 2013

How can we help patients with atheroma?

For patients with symptomatic atheroma the way to recovery is clearly 

1/ acute invasive treatment to revascularise AND best medical treatment including statins
2/ diet and exercise on the long term!